L’impression 3D – appelée fabrication additive puisqu’elle consiste à ajouter de la matière au lieu d’en enlever – présente de nombreuses possibilités d’applications dans la défense : imprimer, même en opérations, des pièces de rechanges ou des éléments de systèmes d’armes ou d’équipements avec rapidité, économie et une relative facilité technique.
L’impression 3D serait-elle un atout pour relever les défis capacitaires en Europe ? Un entretien de Karim Mammasse, Doctorant en Histoire économique (Paris 1), ANAJ et Benoît Tezenas du Moncel, Doctorant en Sciences de gestion (CNAM) Membres du Comité Armée du Futur de l’ANAJ-IHEDN.